Environ un(e) Canadien(ne) adulte de 25 à 64 ans sur trois est trop occupé(e) par le travail pour s’inscrire à des programmes d’éducation.
Environ un(e) Canadien(ne) adulte de 25 à 64 ans sur trois est trop occupé(e) par le travail pour s’inscrire à des programmes d’éducation. Je pensais que c’était moins.
Environ un(e) Canadien(ne) adulte de 25 à 64 ans sur trois est trop occupé(e) par le travail pour s’inscrire à des programmes d’éducation. Je pensais que c’était plus.
Environ un(e) Canadien(ne) adulte de 25 à 64 ans sur trois est trop occupé(e) par le travail pour s’inscrire à des programmes d’éducation. Je ne le savais pas.
Environ un(e) Canadien(ne) adulte de 25 à 64 ans sur trois est trop occupé(e) par le travail pour s’inscrire à des programmes d’éducation. Je le savais.
Près de la moitié des Canadien(ne)s adultes voient leur engagement au travail et dans leur communauté complètement freiné à cause de leur niveau de littératie.
Près de la moitié des Canadien(ne)s adultes voient leur engagement au travail et dans leur communauté complètement freiné à cause de leur niveau de littératie. Je pensais que c’était moins.
Près de la moitié des Canadien(ne)s adultes voient leur engagement au travail et dans leur communauté complètement freiné à cause de leur niveau de littératie. Je pensais que c’était plus.
Près de la moitié des Canadien(ne)s adultes voient leur engagement au travail et dans leur communauté complètement freiné à cause de leur niveau de littératie. Je ne le savais pas.
Près de la moitié des Canadien(ne)s adultes voient leur engagement au travail et dans leur communauté complètement freiné à cause de leur niveau de littératie. Je le savais.
Un(e) travailleur(euse) canadien(ne) sur quatre a reçu une formation payée par son employeur, tandis que 31 % des travailleur(euse)s ont dû la payer.
Un(e) travailleur(euse) canadien(ne) sur quatre a reçu une formation payée par son employeur, tandis que 31 % des travailleur(euse)s ont dû la payer. Je pensais que c’était moins.
Un(e) travailleur(euse) canadien(ne) sur quatre a reçu une formation payée par son employeur, tandis que 31 % des travailleur(euse)s ont dû la payer. Je pensais que c’était plus.
Un(e) travailleur(euse) canadien(ne) sur quatre a reçu une formation payée par son employeur, tandis que 31 % des travailleur(euse)s ont dû la payer. Je ne le savais pas.
Un(e) travailleur(euse) canadien(ne) sur quatre a reçu une formation payée par son employeur, tandis que 31 % des travailleur(euse)s ont dû la payer. Je le savais.
Près d’un(e) Canadien(ne) adulte sur cinq (17 %) de 25 à 64 ans affirme que les services de garde d’enfants ou les responsabilités familiales l’ont empêché(e) de s’inscrire à des programmes d’éducation.
Près d’un(e) Canadien(ne) adulte sur cinq (17 %) de 25 à 64 ans affirme que les services de garde d’enfants ou les responsabilités familiales l’ont empêché(e) de s’inscrire à des programmes d’éducation. Je pensais que c’était moins.
Près d’un(e) Canadien(ne) adulte sur cinq (17 %) de 25 à 64 ans affirme que les services de garde d’enfants ou les responsabilités familiales l’ont empêché(e) de s’inscrire à des programmes d’éducation. Je pensais que c’était plus.
Près d’un(e) Canadien(ne) adulte sur cinq (17 %) de 25 à 64 ans affirme que les services de garde d’enfants ou les responsabilités familiales l’ont empêché(e) de s’inscrire à des programmes d’éducation. Je ne le savais pas.
Près d’un(e) Canadien(ne) adulte sur cinq (17 %) de 25 à 64 ans affirme que les services de garde d’enfants ou les responsabilités familiales l’ont empêché(e) de s’inscrire à des programmes d’éducation. Je le savais.
Soixante-trois pour cent (63%) des étudiant(e)s canadien(ne)s s’inquiètent des conséquences néfastes s’ils ou elles expriment leurs opinions en classe.
Soixante-trois pour cent (63%) des étudiant(e)s canadien(ne)s s’inquiètent des conséquences néfastes s’ils ou elles expriment leurs opinions en classe. Je pensais que c’était moins.
Soixante-trois pour cent (63%) des étudiant(e)s canadien(ne)s s’inquiètent des conséquences néfastes s’ils ou elles expriment leurs opinions en classe. Je pensais que c’était plus.
Soixante-trois pour cent (63%) des étudiant(e)s canadien(ne)s s’inquiètent des conséquences néfastes s’ils ou elles expriment leurs opinions en classe. Je ne le savais pas.
Soixante-trois pour cent (63%) des étudiant(e)s canadien(ne)s s’inquiètent des conséquences néfastes s’ils ou elles expriment leurs opinions en classe. Je le savais.